Incisez le gigot profondément avec la pointe d’un couteau, sur plusieurs zones.
Glissez dans les entailles des morceaux d’ail et de petits brins de romarin.
Massez le gigot avec l’huile d’olive, salez, poivrez, ajoutez les herbes du maquis (ou de Provence).
Filmez soigneusement et laissez reposer 12 heures au réfrigérateur.
Saisie + démarrage de sauce
Sortez le gigot 1 heure avant cuisson pour le tempérer, enlever le film.
Préchauffez le four à 120–130°C en chaleur traditionnelle (statique).
Dans une cocotte en fonte, saisissez le gigot sur toutes les faces avec un peu d’huile d’olive (2 à 4 minutes par face, selon puissance).
Ajoutez le miel après la saisie, laissez légèrement caraméliser quelques instants sans brûler.
Retirez le gigot. Faites revenir oignons et carottes 5 minutes dans la cocotte.
Déglacez au vin blanc en grattant les sucs.
Ajoutez le fond de veau, le laurier et le thym.
Remettez le gigot dans la cocotte.
Cuisson “7 heures” (confit à la cuillère)
Couvrez hermétiquement la cocotte (couvercle bien ajusté ; au besoin, ajoutez une feuille de papier cuisson sous le couvercle).
Enfournez pour 6 h 30 à 7 h à 120–130°C.
Ne découvrez pas en cours de cuisson. Le plat doit cuire dans une atmosphère humide et stable.
Le gigot est prêt quand la viande se détache à la cuillère, sans résistance.
Réduction de la sauce avant service
Sortez le gigot et gardez-le au chaud (cocotte fermée hors four ou plat couvert).
Filtrez la sauce si vous voulez une texture plus fine (optionnel).
Faites réduire à feu moyen jusqu’à obtenir une sauce nappante.
Rectifiez sel et poivre. Servez très chaud, en nappant généreusement.
Le Nutri-Score de ce plat est principalement influencé par sa densité énergétique, liée à la présence d’une pièce de viande généreuse et de sa sauce réduite, ainsi que par la teneur naturelle en graisses de l’agneau, complétée par l’huile d’olive utilisée à la cuisson. Le niveau de sel peut également peser dans l’évaluation, en fonction de l’assaisonnement et du fond de veau employé. Il est important de rappeler que le Nutri-Score ne prend pas en compte l’index glycémique ni la structure globale du repas. Dans une approche IG bas, ce gigot d’agneau de 7 heures reste généralement favorable : il n’impose pas de féculent, apporte une bonne quantité de protéines et contribue à une meilleure stabilité de la glycémie lorsqu’il est accompagné de légumes riches en fibres.